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L’insoutenable diktat médiatique de l’Occident !




L’Occident dispose d’une puissance telle qu’il se permet, sans vergogne, d’asservir les plus faibles, les plus précaires. Le côté chevaleresque a déserté sa culture depuis longtemps, et il n’a gardé que sa lâcheté, devenue légendaire, pour assouvir ses plus bas instincts de féro-cité sur des populations souvent désarmées.


A l’exemple des États Unis qui, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, ont multiplié les conflits, sans en gagner un seul, car leur dessein était ailleurs. En effet le but a toujours été, et demeure encore, de semer la mort et les dévastations. C’est ce qu’ils ont fait au Vietnam, et plus récemment en Irak et Afghanistan : des victimes par millions, des destructions incommensurables, et ils repartent presque aussi vite qu’ils sont arrivés. La conscience toujours tranquille, comme s’ils venaient d’accomplir une mission particulièrement bénéfique pour les populations qu’ils ont martyrisées.


Comment se fait-il qu’après avoir semé tant de malheurs, les choses rentrent dans l’ordre rapidement, et tout continue comme si de rien n’était ? Elles apparaissent comme de simples soubresauts dont l’histoire est coutumière, et on passe à la prochaine guerre comme si elle était inéluctable ! Une envie irrépressible de semer le mal, habillée en péripétie sordide de l’histoire !


C’est là qu’intervient le rôle décisif des médias. Au-delà de la puissance destructrice de leurs armées, le rôle éminemment criminel des médias offre une impunité totale à toutes les exactions des armées occidentales. Elles peuvent tuer et détruire autant qu’elles veulent et comme elles veulent, elles seront exonérées pour leurs crimes, quand elles ne sont pas célébrées et félicitées pour leurs faits d’armes.


À croire qu’aujourd’hui les médias sont devenus la principale arme de destruction massive de l’Occident. Avant le début des hostilités, ils balisent le chemin en préparant l’opinion pour que les agressions programmées apparaissent supportables, et même désirables pour la partie de l’opinion la plus fragile. Durant le conflit, ils jouent la désinformation pour neutraliser les récalcitrants. À la fin des hostilités ils s’arrangent pour présenter un bilan infiniment moins douloureux qu’il ne l’est en réalité, en somme un nettoyage garanti pour effacer toutes les « saletés » laissées par le passage des armées occidentales.


La puissance des médias a été construite sur une base terroriste. Le terrorisme intellectuel s’entend ! Dans les prétendues démocraties occidentales la mise au pas des médias est quasiment achevée. S’il subsiste ici et là quelques îlots de liberté, ils n’arrivent pas à infléchir les opinions publiques car leurs moyens restent très limités et apparaissent comme des nains face aux médias mainstream.


Cette concentration constitue une impitoyable force de frappe. Elle se dresse d’un bloc pour véhiculer et imposer le même message. Et ce matraquage systématique induit les opinions dans l’erreur car elles finissent par croire que ce qu’il leur est servi est la vérité vraie. Comment ne le serait-elle pas alors que tous les médias disent la même chose ?


Les opinions rentrent du coup dans un moule forcé qui annihile toute velléité de s’écarter de la pensée unique. Tous ceux qui d’aventure tentent de s’en éloigner, seront soumis à un lynchage médiatique dont la violence frise souvent l’irrationnel. Quand un récalcitrant émet une idée « non-conforme », elle est immédiatement pervertie soit en sortant les mots de leur contexte, soit en donnant des interprétations à l’opposé de ce veut dire leur auteur. Ceux qui, par dignité, refusent de se soumettre à ce diktat seront écartés définitivement de tous les supports médiatiques.


En France ce terrorisme intellectuel atteint des sommets inégalés dans les autres sociétés « démocratiques ». L’inconscience des journalistes relève de la démence puisqu’ils parti-cipent à l’extinction de toutes les lumières qui ont fait rayonner la France. Réalisent-ils au moins que leur adhésion massive et inconditionnelle à la pensée unique est en train d’enfanter une monstruosité qui broie toutes leurs libertés ? Acceptent-ils de devenir les auxiliaires des tueries pratiquées régulièrement par l’Occident, et particulièrement par Israël ? Sont-ils devenus à ce point les complices avérés de crimes irrépressibles ?


Beaucoup de conflits n’auraient pas éclaté si les armées occidentales n’avaient pas, en amont et en aval, le soutien inconditionnel des médias mainstream. Oui, sans les médias beaucoup de guerres n’auraient pas eu lieu, et nombre de conflits n’auraient pas perduré, ce qui aurait permis d’épargner des vies et éviter pas mal de destructions.


La puissance des médias est venue à bout de la pensée, et elle est en passe de dépouiller l’humanité de son humanité. On en arrive aujourd’hui à se poser la question de savoir qui des armées ou des médias sont à l’initiative d’une guerre. Ils sont nombreux les observateurs à noter que les médias sont les véritables faiseurs de guerres. À leur tour les guerres les nourrissent tant et si bien qu’un lien existentiel fort unit aujourd’hui guerres et médias occidentaux. Sommes-nous réduits à regarder, impuissants, cette funeste pyromanie médiatique enfantée par ce couple infernal ? Il y a tout lieu de craindre le pire car depuis que l’éthique a déserté le journalisme et que l’Occident a été dépouillé de ses derniers relents d’humanité, que pouvons-nous attendre d’autres qu’une succession de guerres de plus en plus atroces ?


La tragédie de Gaza est révélatrice d’une profonde crise qui remue le monde entier. Plus qu’un divorce, c’est un véritable schisme dans l’espèce qui s’opère sous nos yeux et qui risquerait d’être fatidique pour la planète. D’un côté il y a ceux chez qui la souffrance de l’autre ne soulève plus la moindre émotion. On trouve de l’autre côté ceux qui ont gardé intacte leur fibre humaine et qui s’émeuvent face au spectacle dantesque qu’Israël nous offre avec une joie non contenue de ses bombardements sur Gaza.


En terme de rapports de force, on est tenté de se montrer optimiste car le parti qui reste attaché à l’humanité représente plus de 90% des habitants de la planète. Mais les autres qui s’autoproclament « communauté internationale » alors qu’ils représentent moins de 10%, dispose d’une puissance matérielle incomparablement supérieure.


Sans compter que le maître d’œuvre de ce schisme est à l’évidence Israël, l’immense puissance tutélaire d’un Occident usé, rabougri qui se met tout penaud au service de la plus infamante des guerres. Pour avoir réussi à asservir l’Occident et le monde que ce dernier contrôle pour le compte du sionisme, Israël apparaît plus que jamais comme la première puissance de tous les temps.


Aussi loin qu’on puisse remonter dans le temps, on ne trouvera pas l’équivalent dans l’histoire, d’un petit groupe ethnique ou religieux qui a réussi à dominer aussi rapidement et outrageusement tout ce qui compte dans le monde.


La question qui vient à l’esprit est de se dire pourquoi Israël, doté d’une puissance jamais égalée au point d’avoir réduit l’Occident à un chiffe molle, pourquoi Israël qui contrôle par médias interposés la quasi totalité de la planète, pourquoi donc s’acharne-t-il sur une population des plus déshéritée, parquée dans un espace incongru et sans issue ?


Apparemment Israël cherche à nous montrer qu’il excelle en tout, y compris dans l’horreur !

Et si ce n’est qu’une démonstration de force à l’adresse de tous qui se mettraient sur son chemin ? Comme cela pourrait être la répétition de ce à quoi pourrait ressembler la vengeance d’Israël. Notamment les responsables de la Shoah. Rien d’étonnant qu’Olaf Scholtz, le Chancelier allemand ait pris une position en flèche dans le soutien au bombardement de Gaza, au point de s’opposer énergiquement à toute tentative de cessez-le-feu.


Tout le monde a remarqué des changements inhabituels dans le renforcement du soutien à Israël. Le diktat médiatique rend toute modération suspecte. Alors pour Israël tous les excès sont permis, les médias veillent !


Abdelahad Idrissi Kaitouni.



















1 Comment


Cette soumission des médias au diktat d'Israël trouve son origine en partie dans l'incompétence de plus en plus avérée des "journalistes" !


Quand on confie une émission politique à un ex-cuisinier, devenu par hasard commentateur de football (je parle de Pascal PRAUD de CNEWS) et qu'on l'entoure de chroniqueurs téléguidés, il ne faut pas s'étonner du résultat.


Et la liste est longue d'exemples comme celui-là ! "Le stagiaire de BFM" n'est pas un mythe mais une réalité concrète des chaines d'info en continu françaises !


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